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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 15:46

 

Non, le Criirem ne s'est pas fourvoyé « considérant que les lampes fluocompactes émettent des rayonnements électromagnétiques parasites »


La Commission de la Sécurité des Consommateurs recommande aux utilisateurs de respecter une distance d’environ 30cm des fameuses lampes.


La mise en garde est d’autant plus valable pour les personnes portant un stimulateur cardiaque, « une distance supérieure aux 30cm » est donc conseillée ou qu’ils « conservent des lampes à incandescence autorisées (lampes halogènes) dans leur environnement proche ».


Même si au-delà de 30cm le décret du 3 mai 2002 est respecté dans la gamme de fréquences concernée, il apparaît qu’à moins de 30cm les simulations « ne permettent pas de considérer que dans leur globalité les ampoules fluocompactes respectent les recommandations de l’ICNIRP et la réglementation ».


Compte tenu de divers éléments, « la Commission estime qu’il conviendrait qu’un message clair, par exemple sur les emballages ou via d’autres moyens à disposition de l’administration, invite, par précaution, les utilisateurs à respecter une certaine distance en cas de présence prolongée à côté d’une lampe fluocompacte, comme cela peut se produire avec une lampe de bureau ou de chevet ».


La Commission recommande :


Aux pouvoirs publics de « S’assurer que le respect des valeurs limites, définies pour la sécurité sanitaire de la population générale au regard des risques liés aux rayonnements électromagnétiques, offre également toutes les garanties utiles aux porteurs de dispositifs médicaux implantables et de prothèses électriques ».


 

Aux fabricants d’ « Adopter des technologies de fabrication des lampes fluocompactes permettant, d’une part, de diminuer la quantité de mercure (…)et d’autre part, de réduire l’intensité des rayonnements électromagnétiques parasites émis par ces lampes ».


Aux consommateurs « De respecter une distance de précaution prenant en compte notamment l’avis de l’ADEME publié en juin 2010, qui recommande, en cas d’utilisation prolongée, de se maintenir à une distance minimale de 30cm d’une lampe fluocompacte.

Dans l’attente des résultats des vérifications demandées aux pouvoirs publics par la dernière

recommandation qui leur est adressée, cette distance de précaution devrait être particulièrement respectée par les porteurs de dispositifs médicaux implantables et de prothèses électriques ».


Avis Relatif aux risques liés à l’utilisation des lampes fluocompactes en milieu dommestiques de la Commission de la sécurité des Consommateurs du 18 novembre 2010 et du 13 janvier 2011.

 

 

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7 février 2011 1 07 /02 /février /2011 18:50

Publié per Christian D. sur Génération Nouvelles Technologies le Lundi 07 février 2011

Alcatel-Lucent annonce une nouvelle technologie d'antenne mobile dont une partie de l'infrastructure est dérivée en cloud, permettant de réduire la taille de l'antenne mobile et de ne plus être forcément dépendant de sites pour installer les antennes.

L'équipementier Alcatel-Lucentpromet une révolution chez les opérateurs mobiles avec satechnologie lightRadio qui " marque la fin des stations de base et des mâts d'antennes telles que nous les connaissons ", indique son CEO Ben Verwaayen.

lightRadio se propose en effet de redistribuer une partie de l'infrastructure nécessaire au bon fonctionnement des stations de base sur un réseau en cloud. Les différentes installations n'ont donc plus besoin d'être à proximité de l'antenne qui peut par ailleurs être réduite à des dimensions minimes ( jusqu'à la taille d'une balle de golf, indique Reuters ) et être installées dans des endroits jusqu'à présent inaccessibles comme " des poteaux, au flanc des immeubles ou à n'importe quel endroit disposant d'une alimentation en électricité et d'une connexion haut débit. "

Alcatel-Lucent promet ainsi avec sa technologie de répondre à plusieurs problématiques des opérateurs mobiles au moment où l'accès aux réseaux mobiles haut débit devient un enjeu majeur, avec une très forte croissance de la consommation de données mobiles.


Le réseau mobile se fait plus flexible et discret

lightRadio devrait ainsi permettre de réduire de plus de 50% l'empreinte carbone des réseaux mobiles et du coût total de possession pour les opérateurs mobiles mais aussi améliorer la qualité de service pour les abonnés " grâce à une augmentation significative de la bande passante résultant du déploiement généralisé de petites antennes ".

Cette technologie permet également de réunir les antennes des différents types de réseau ( 2G, 3G, LTE ) dans une antenne unique ( conçue par les Bell Labs ). Alcatel-Lucent reprend les arguments traditionnels du cloud computing pour vanter les mérites de sa technologie : flexibilité de l'architecture et réponse dynamique aux besoins

Les antennes seront moins puissantes que les stations de base et couvriront donc des cellules de plus faibles dimensions mais leur gestion dynamique permet de les combiner de façon avantageuse.

C'est une sorte de mélange des concepts du cloud computing et des femtocells mais appliqué au macro-réseau cellulaire, impliquant une gestion plus ouverte que celle des femtocells ,dont l'accès est théoriquement limité aux utilisateurs directs ( membres d'une famille, collaborateurs d'une entreprise... ) et dont une partie des équipements sont délocalisés en cloud.

Les premiers éléments de la solution lightRadio pourront être testés par les opérateurs mobies ( cinq opérateurs, dont France Télécom, seraient déjà intéressés ) à partir du second semestre 2011.

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6 février 2011 7 06 /02 /février /2011 22:34

Avec la nouvelle mise à jour (Firmware) estampillée 1.0.2 qui vient tout juste de sortir, Free a pensé à permettre, de façon simple, l’activation ou la désactivation du wifi depuis le pavé tactile de la Freebox Révolution Serveur. Rappelons que le wifi de la Freebox Révolution est le plus rapide du marché (WiFi 802.11b/g/n 3x3 450 Mbps 2.4 Ghz). 
  
Pour ce faire, il suffit simplement de se rendre dans le menu wifi. 

Le WiFi utilise une de ces fréquences, rares dans notre environnement électromagnétique naturel, reconnues comme radiofréquences. Quelques signaux d’alerte scientifique se multiplient et rejoignent les plaintes de plus en plus nombreuses des personnes exposées aux ondes électromagnétiques. D’autres études démentent les effets néfastes des ondes électromagnétiques. 
Quoi qu’il en soit, si le flou demeure, la désactivation du wifi est maintenant facilitée.

Note d'ANA : Nous contrôlerons la désactivation totale du wifi avec notre sonde

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6 février 2011 7 06 /02 /février /2011 22:28

Publié le 03 Février dans Lyon Capitale.fr

Triste mine et grosse déception chez les parents d'élèves de l'école Gerson (5e arrondissement de Lyon) après le jugement rendu ce jeudi 3 février. Ces derniers étaient en procès contre l'opérateur de téléphonie mobile Bouygues. Ils demandaient le démantèlement de l'antenne-relais, située depuis 1999 à côté de la cour de récréation de leurs enfants, au nom du principe de précaution. En 2009, ils avaient été déboutés une première fois. Ce deuxième jugement est du même acabit. Bouygues gagne donc la partie et réussit à faire reconnaître par la Cour qu'il n'y a pas moyen d'établir que l'exposition aux ondes électromagnétiques de l'antenne-relais située à 30 mètres de la cour de l'école, ait un quelconque impact sanitaire.

"Le juge s'est contenté de valider le premier jugement", indique J.M. Dhimoïla, président du collectif Respem, collectif des parents plaignants. En conséquence, les parents devront verser à Bouygues au moins 1500 euros de dommages et intérêts et leur rembourser une partie de leurs frais juridiques. "Tout ne s'arrête pas. J'ai la conviction que la solution viendra des opérateurs eux-mêmes. Demain, Bouygues sera contraint de se remettre en question s'il ne veut pas perdre ses clients", positive le président de Respem.

En effet, l'arrivée du quatrième opérateur, Free, sur le marché des ondes en France change la donne. Il a déjà pris à bras le corps la question environnementale et s'est engagé à n'installer aucune antenne-relais à proximité des écoles sur Paris. Les parents d'élèves souhaitent que ces idées viennent jusqu'à Lyon. Le collectif ne prévoit pas de se dissoudre pour le moment. Les parents espèrent encore pouvoir faire bouger les choses dans le débat public. Et un procès en cassation n'est pas exclu.

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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 22:48

Publié par Emilien Ercolani dans L'Informaticien.com le lundi 31 janvier 2011

Google continue de penser que les fréquences non-utilisées aux Etats-Unis, les zones blanches, peuvent servir à « nous conduire vers la prochaine génération technologique de l’Internet mobile ». 


Aux Etats-Unis, Google avait repéré qu’il y a plusieurs bandes de fréquences qui sont désormais inutilisées. Elles sont appelées « zones blanches », et sont souvent des fréquences de télévision abandonnées.

Google avait alors demandé à la FCC (Federal Communications Commission) de dresser une liste exhaustive de celles-ci, et de nommer des administrateurs. C’est ce qu’a fait l’autorité américaine, désignant neuf entreprises dont Google. 

A l’automne dernier, la FCC avait déjà adopté des règles techniques sur ces fréquences obsolètes – « les ondes dont nous pensons qu’elles vont nous conduire à la prochaine génération technologique de l’Internet mobile », souligne Larry Alder en charge des opérations stratégiques chez Google. 

Durant les prochaines semaines, les neuf entreprises concernées et la FCC vont travailler ensemble pour vérifier la précision des données qui ont été fournies, et réaliser les premiers tests. L’objectif de Google est de réaliser ce qu’il appelle le « Super WiFi ». Les informations concernant cette technologie sont maigres, et Google travaille encore avec la FCC sur le sujet. 

Ce que nous savons, c’est que les fréquences vacantes sont très basses. Quand le WiFi actuel utilise les bandes 2,4 GHz et 5 GHz, le Super WiFi fonctionnerait quant à lui entre 500 MHz et 700 MHz. Toutefois, Google n’est pas certain de voir son projet aboutir. Les fréquences non-utilisées devaient d’abord être utilisées pour les appels d’urgence, et quelques opérateurs voient d’un mauvais œil cette tentative.
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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 22:41

Publié dans La Dépèche.fr le 27 Janvier 2011

Gilbert Daydé, le maire de Boulin./Photo Christian Sarrabayrouse.

Gilbert Daydé, le maire de Boulin./Photo Christian Sarrabayrouse.

De Gilbert Daydé, maire de Boulin, nous recevons ce communiqué pour insertion : « Je souhaite m'exprimer succinctement sur le projet numérique départemental, décidé et conduit par le conseil général. Donner l'accès au haut débit et à tous les foyers du département ne peut que recueillir le soutien de tous. Trois technologies complémentaires sont mises en œuvre, dont celle du Wimax desservant 10 % de la population et nécessitant l'implantation de 49 antennes. L'une d'entre elles est prévue sur la commune de Souyeaux, à proximité du lotissement de Boulin. Mon conseil municipal n'a été à aucun moment concerné par le processus décisionnel. Par contre, le raccordement

de l'antenne au réseau électrique nécessite une autorisation de voirie.

Dans l'immédiat, en accord avec mes conseillers, j'ai décidé de surseoir à la signature de ce document en n'ignorant pas qu'une autre autorité peut éventuellement me suppléer. Plusieurs raisons m'ont conduit à ce choix :

- J'ai entendu les inquiétudes sincères manifestées par une partie de mes administrés et même parfois l'expression d'une véritable souffrance ;

- Je souhaite préserver le calme dans la commune.

Aussi, je demande un moratoire sur la mise en œuvre de la technologie Wimax permettant d'analyser le bien-fondé des solutions alternatives, d'apporter une réponse au principe de précaution, de créer les conditions favorables à l'acceptation d'un progrès technologique incontestable autour d'un projet fédérateur ».

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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 22:32

Publié par Marine Badoux dans Lyon Capitale.fr le 1er Février 2011@ DR

Jeudi 3 février, la cour d'appel de Lyon rendra son arrêt concernant la présence d'une antenne-relais Bouygues à 30 mètres de la cour de l'école primaire Gerson (Lyon 5e). Dernière chance pour les parents d'élèves de voir le principe de précaution mis en application.

Ce n'est pas d'aujourd'hui que les représentants de parents d'élèves de l'école maternelle et primaire Gerson à Lyon 5e. demandent le démontage de l'antenne Bouygues Télécom, cachée dans une fausse cheminée, sur un toit, à 30 mètres de la cour de récréation de leurs enfants, âgés de 2 à 10 ans. Ils expliquent que "devant les problèmes de santé présentés par certains enfants", ils se sont rassemblés au sein d'un collectif, le Rassemblement pour des Ecoles Sans Pollution Electro-Magnétique (RESPEM).

Le principe de précaution, seul recours

Après de nombreuses actions dont une journée école morte et des courriers adressés aux autorités de la Ville et de l'Etat restés lettre morte, les parents n'avaient d'autre choix que d'intenter un procès à l'opérateur de téléphonie mobile pour "trouble du voisinage". Mais l'Agence française de sécurité sanitaire et de l'environnement (Afsset) ne reconnaît pas que l'exposition aux ondes électromagnétiques par le biais des antennes-relais soit nocive. Et bien que innocuité des ondes ne soit pas prouvée, le principe de précaution a rarement été appliqué en France. Déception donc en septembre 2009 : le Tribunal de Grande Instance de Lyon donne raison à Bouygues Télécom et déboute les parents d'élèves. Il les condamne à verser 1 500 euros de dommages et intérêts à la société Bouygues. Faire appel, c'est donc jouer leur dernière carte. Franck Heurtrey, avocat du collectif et des 16 parents plaignants indique qu'ils veulent à tout prix obtenir le démantèlement de l'antenne-relais.

@ DR

Spécificités du cas Gerson

En novembre dernier, l'audience à la cour d'appel de Lyon ne dure que peu de temps, puisque l'argumentaire reste le même. Cependant, Me Heurtrey martèle : "ce dossier a une spécificité. Il s'agit d'une école et donc d'une population définie dans la loi comme fragile. Free, le 4e opérateur qui vient de s'implanter sur le sol français a refusé de mettre des antennes à proximité des écoles parisiennes. Ce n'est pas inaccessible de faire reconnaître la nécessité de protéger l'école Gerson." L'avocat précise que la topologie du lieu est assez rare puisque la cour d'école est située sur un toit : "on ne voit pas cela partout, c'est une problématique liée au quartier Vieux-Lyon". Le premier jugement manquait, selon lui, de cohérence. Le juge a également demandé les preuves d'un préjudice. "On ne peut pas lui en fournir. Mais, le principe de précaution s'applique justement pour prévenir le préjudice."

L'issue reste incertaine

De son côté, Jean-Michel Dhimoïla, le président du collectif Respem, ne lâche pas : "Médiator, amiante, pourquoi faut-il toujours attendre qu'il y ait des morts pour se réveiller ?". Il affirme être lucide, pas en colère. "Aujourd'hui, on re-juge la forme, pas le fonds. Et si l'on perd, on risque 2 000 euros de dédommagements. Mais ce n'est rien à côté d'échouer sur la prise de conscience." Même si l'espoir anime les parents d'élèves, il n'en reste pas moins qu'un verdict en leur défaveur représenterait un nouveau coup dur. Me Heurtrey reste optimiste mais prudent: "comme il n'y a pas eu de ligne donnée par la Cour suprême, les juges font du cas par cas, ce qui laisse toujours planer l'incertitude quant à l'issue du procès." Réponse ce jeudi 3 février.

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27 janvier 2011 4 27 /01 /janvier /2011 00:01
Publié sur Youtube le 1er mai 2010
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26 janvier 2011 3 26 /01 /janvier /2011 23:47
Mis en ligne sur Youtube le 1er mai 2010


 

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26 janvier 2011 3 26 /01 /janvier /2011 23:25
Interview réalisé par  Philippe Combrousse pour La Presse de Vesoul et mis en ligne sur Dailymotion le 31 mai 2010
Cinq élèves seulement (et une enseignante !) sont venus déposer leur téléphone au CDI dans le cadre de l'action conduite au Lycée Pontarcher de Vesoul, vendredi 28 mai 2010. Théo, 16 ans, élève en seconde pro n'a tenu que 30 minutes (donc 5h40 de moins que prévu dans son défi). Tous les autres ont atteint leur objectif, pour la plupart fixé à 6 heures (donc sans portable sur presque toute leur journée de cours, même durant la pause méridienne), pour un cumul de 25 heures sans portable.Cette opération "Combien de temps sans portable" avait déjà été proposée à une classe deux semaines plus tôt (2nde BEP carrières sanitaires et sociales). 
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