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27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 23:45

Publié dans 01net le 26 Février 2014 par Anthony Morel

Connecter son smartphone à internet en passant par une ampoule ? C’est aujourd’hui possible grâce au LiFi. Une technologie sur laquelle les français sont très en pointe. Le principe est simple. On ne va plus faire passer des informations par des ondes radio mais par de la lumière. L’ampoule LED s’éteint et s’allume plusieurs milliers de fois par seconde ce qui permet d’envoyer un signal binaire. Dès lors, on peut envoyer des fichiers numériques, de la musique ou encore de la vidéo. Les avantages d’une telle technologie sont multiples. Tout d’abord il n’y a plus d’ondes émises. Ensuite, les informations sont transmises plus rapidement qu’avec un réseau 4G. D’un point de vue pratique, on pense bien que les musées, les supermarchés ou encore les municipalités seront très certainement intéressés pour diffuser au public des informations spécifiques.

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 23:25

Publié dans le Parisien le 07 Février 2014

Illustration. Près d'un Français sur deux (49,7%) se connecte désormais à internet depuis son téléphone mobile selon Médiamétrie.

L'Internet nous accompagne de plus en plus en dehors des lieux de résidence ou de travail. Près d'un Français sur deux (49,7%) âgé de 11 ans et plus se connecte désormais à internet depuis son téléphone mobile, indique vendredi Médiamétrie dans sa mesure de l'audience mobile pour le mois de décembre.

Au 4ème trimestre 2013, 84% des Français de 11 ans et plus sont «utilisateurs principaux» d'un téléphone mobile, soit 45,7 millions de personnes. «Cela correspond à une augmentation de 1,2 million en 2 ans», est-il indiqué. «Aujourd'hui, près d'un Français sur deux âgé de 11 ans et plus (49,7%) se connecte à internet depuis son mobile. On compte ainsi 27 millions de mobinautes, en progression de 1,2 million en un trimestre et de 3,4 millions en un an». Au moins 24 millions de smartphones étaient en circulation en 2013 selon Médiamétrie.

Les seniors de plus en plus adeptes du web mobile

Médiamétrie souligne que les 50 ans et plus augmentent significativement et qu'ils représentent désormais un mobinaute sur quatre, contre un sur cinq il y a un an. L'institut relève que les utilisateurs de l'internet mobile ont une utilisation plus intensive en semaine, notamment aucours de la journée.

«En moyenne, sur un jour de semaine, près de deux mobinautes sur trois se connectent à l'internet mobile entre 17h et 21h. Le week-end, on observe également un pic d'utilisation en début de soirée: 61,9% des utilisateurs de l'internet mobile se connectent à leur téléphone entre 17h et 21h», précise-t-il. En moyenne en décembre, les mobinautes ont consulté 5,9 applications et ont visité 34 sites distincts, résume Médiamétrie.

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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 23:38

Publié le 5 Novembre 2013 dans Techniques de l'Ingénieur par Audrey Loubens

Dispositifs anti-ondes, vraie protection ou vraie arnaque ?

Dans son dernier rapport sur les radiofréquences, l’Anses en a profité pour tester les dispositifs anti-ondes. Verdict.

 

La méfiance vis-à-vis des radiofréquences reste forte et l’explosion des personnes dites « electro-sensibles » a donné des idées à certains. C’est ainsi que l’on voit fleurir des dispositifs censés nous protéger des ondes. Parmi les solutions les plus en vogue, le patch séduit de plus en plus. Petit, pratique et pas trop cher, quelques dizaines d’euros,  ces patchs à placer à l’arrière de son téléphone portable promettent d’absorber les ondes émises. Certains d’entre eux promettent même jusqu’à 99% de réduction du DAS. Le DAS, ou Débit d’absorption spécifique, est un marqueur de l’énergie dégagée par le rayonnement électromagnétique  auquel est soumis l’utilisateur de l’appareil. Des performances en partie confirmées par les tests de l’Anses. 

Parmi les 13 dispositifs anti-ondes, 11 patchs et 2 pastilles à coller. Les dispositifs de type étui de protection conduisent effectivement à une diminution allant de 71,56% à 99,53% du DAS ! En revanche, les dispositifs anti-ondes à positionner sur la batterie ou directement sur le téléphone ne montrent qu’une réduction de quelques pourcents.  Enfin, les systèmes à placer près de l’antenne permettent une réduction du DAS entre 8% et 76% environ. 

Le principe est de coller du métal au dos du téléphone. « Cela modifie l’antenne. Il est alors possible de diminuer le DAS car l’antenne n’est plus adaptée à son environnement, elle n’est plus apte à délivrer toute la puissance initiale. » explique Olivier Merckel, de l’ANSES.

De quoi confirmer les dispositifs dans leur utilité. Oui mais, il y a un mais ! En effet, en contrepartie de la diminution du DAS, la capacité de réception de l’appareil s’en retrouve très limitée, «[…] rendant difficile voire impossible la réception des appels » précise le rapport. En fait, l’appareil se retrouvant avec une  puissance diminuée, il n’est plus capable de fonctionner correctement et émet plus fort pour tenter de maintenir la liaison avec les antennes-relais. Tout le contraire de l’effet recherché. De plus, cela vide la batterie, déjà rapide à se décharger pour les Smartphones.

La conclusion de l’Anses est claire : « aucun effet probant de ces dispositifs sans une altération des performances du téléphone mobile. Au contraire, les protections qui modifient les performances radioélectriques des téléphones mobiles, en dégradant par exemple les capacités de réception, risquent, dans des conditions d’utilisation réelles, d’augmenter le niveau d’exposition de l’utilisateur. »

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21 février 2011 1 21 /02 /février /2011 22:38

Publié le 18 Février par la rédaction sur ZDNet France

 

Technologie - Le cabinet iSuppli research prévoit une croissance exponentielle du marché des puces WiFi dont les volumes devraient atteindre les 2 milliards d'unités en 2014, en raison de l'intégration du WiFi dans de plus en plus de produits : tablettes, TV...

Le WiFi a largement débordé la sphère informatique (routeurs, PC portables...) pour investir des produits grand publics tels que les téléphones mobiles ou encore les téléviseurs. Selon les prévisions du cabinet d'analyse iSuppli research, les livraisons de puces WiFi devraient doubler cette année pour atteindre 1 milliard d'unités.

Une progression assez logique étant donné l'arrivée massive de tablettes Internet toutes équipées d'une connexion WiFi, mais également le développement de cette technologie dans les téléviseurs, les lecteurs de salon (DVD et Blu-ray), les imprimantes, les appareils photo numériques, les caméscopes, les consoles de jeu, les GPS portables...

Fort de ce constat, iSuppli prévoit que les volumes de puces WiFi atteindront les 2 milliards en 2014. Une manne dont devraient profiter les principaux industriels de ce marché que son Atheros, Broadcom et Ralink. (Eureka Presse)

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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 22:48

Publié par Emilien Ercolani dans L'Informaticien.com le lundi 31 janvier 2011

Google continue de penser que les fréquences non-utilisées aux Etats-Unis, les zones blanches, peuvent servir à « nous conduire vers la prochaine génération technologique de l’Internet mobile ». 


Aux Etats-Unis, Google avait repéré qu’il y a plusieurs bandes de fréquences qui sont désormais inutilisées. Elles sont appelées « zones blanches », et sont souvent des fréquences de télévision abandonnées.

Google avait alors demandé à la FCC (Federal Communications Commission) de dresser une liste exhaustive de celles-ci, et de nommer des administrateurs. C’est ce qu’a fait l’autorité américaine, désignant neuf entreprises dont Google. 

A l’automne dernier, la FCC avait déjà adopté des règles techniques sur ces fréquences obsolètes – « les ondes dont nous pensons qu’elles vont nous conduire à la prochaine génération technologique de l’Internet mobile », souligne Larry Alder en charge des opérations stratégiques chez Google. 

Durant les prochaines semaines, les neuf entreprises concernées et la FCC vont travailler ensemble pour vérifier la précision des données qui ont été fournies, et réaliser les premiers tests. L’objectif de Google est de réaliser ce qu’il appelle le « Super WiFi ». Les informations concernant cette technologie sont maigres, et Google travaille encore avec la FCC sur le sujet. 

Ce que nous savons, c’est que les fréquences vacantes sont très basses. Quand le WiFi actuel utilise les bandes 2,4 GHz et 5 GHz, le Super WiFi fonctionnerait quant à lui entre 500 MHz et 700 MHz. Toutefois, Google n’est pas certain de voir son projet aboutir. Les fréquences non-utilisées devaient d’abord être utilisées pour les appels d’urgence, et quelques opérateurs voient d’un mauvais œil cette tentative.
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6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 01:28
Europe 1 - Mercredi 5 Août 2009



La France compte 58,9 millions de clients aux services de téléphonie mobile, un chiffre qui ne cesse d’augmenter.


Il y aura bientôt plus de téléphones portables que d’habitants en France. 
Au 30 juin, on comptait dans l’Hexagone près de 59 millions de clients à un opérateur de téléphonie mobile, selon les chiffres publiés mercredi par l'Autorité de régulation des télécoms (Arcep). La croissance a été forte au deuxième trimestre, avec 678.600 nouveaux clients, contre 304.400 sur la même période il y a un an.

Le taux de pénétration du portable au sein de la population est désormais de 91,8%, contre 88,1% un an plus tôt. De fortes disparités géographiques persistent : quand l'Ile-de-France affiche un taux de pénétration de 130,8% – certains clients possédant plusieurs cartes Sim – la Franche-Comté reste à la traîne, avec 69,2%.

Les adeptes du forfait sont toujours plus nombreux (40,5 millions, +8,1% en rythme annuel), tandis que les utilisateurs de cartes prépayées ont baissé de 0,8% sur un an. Les opérateurs mobiles virtuels (Breizh Mobile, Coriolis Telecom, etc.) qui utilisent les réseaux des trois principaux opérateurs – Orange, SFR, Bouygues Telecom – comptaient 2.998.200 clients fin juin, soit une part de marché de 5,30% contre 4,67% un an plus tôt.

Difficile, aujourd’hui, de se passer du téléphone portable, devenu un objet incontournable de la vie quotidienne. Pourtant, cet objet demeure entouré d’un voile d’incertitude que la première session du « Grenelle des ondes », achevée en mai dernier, n’a pas permis de lever. La publication, en septembre, du rapport de l'Association française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) permettra peut-être d'avoir une idée plus claire des risques sanitaires liés aux ondes émises par les antennes-relais et les appareils eux-mêmes.

Interdire l’usage du téléphone portable à l’école pour les moins de 12 ans, voire les moins de 14 ans, avait été l’une des mesures-phares évoquées lors du « Grenelle des ondes ». En revanche, l’idée d’abaisser le seuil d’émission des ondes des antennes-relais à 0,6 volt par mètre, comme le réclame l’Association Robins des toits, avait été rejetée. Certaines municipalités ont invoqué le principe de précaution pour édicter un moratoire interdisant l’implantation de nouvelles antennes relais sur leur territoire. Ces moratoires ont tous été retoqués par des tribunaux administratifs.

L’idée d’expérimenter l’abaissement de ce seuil dans certaines villes a tout de même été retenue, sur une proposition de Robins des toits. Des villes comme Courbevoie, Pau ou Montreuil ont proposé leur candidature. Les communes choisies seront connues en septembre.

 
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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 21:47
ZDNET.FR | 08.07.2009 | 00:00

Le succès des smartphones et autres iPhone en France fait-il bondir l'usage des services multimédias en ligne ? Pas encore. Selon le premier Moniteur du Multimédia Mobile réalisé par Gfk, l'utilisation de services évolués comme le Web Mobile, le téléchargement de contenus... reste encore marginale.

L'étude confirme que les terminaux dédiés se vendent comme des petits pains. Ainsi, 35% des téléphones mobiles vendus à fin mai 2009 sont compatibles avec le haut débit  (3G/3G+) et les téléphones à écran tactile représentent désormais 27% des ventes totales en unités.

Les jeunes en pointe

Mais seulement 12,9% des mobinautes déclarent avoir télécharger des contenus "ne serait-ce qu'occasionnellement" sur leurs mobiles. Et 10% d'entre eux surfent sur le Web. Pas encore de quoi parler d'usage de masse.

Néanmoins l'âge a son importance :  36% des 15-20 ans téléchargent des contenus contre 11% pour les 35-39 ans. La marque du mobile également. "La pénétration de ces usages avancés dépend aussi significativement de la marque du téléphone possédé. En revanche, ils varient peu selon l'opérateur souscrit, exception faite des MVNO (opérateurs virtuels) qui sous-performent dans ce domaine", souligne Gfk.

Finalement, ce sont les usages basiques qui restent de loin majoritaires : 72% des mobinautes envoient des SMS, 54% prennent des photos, 23% écoutent de la musique, 23% envoient des MMS et 15% écoutent la radio.

Olivier Chicheportiche, businessMOBILE.fr 
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